Notre directeur général aura certainement des éléments de réponse à vous apporter. Loin d'être représentative, cette situation – marquée par un affrontement extrême – me semble tout à fait unique en France. Pour autant, on peut en tirer quelques enseignements, et la majorité actuelle a déjà commencé à le faire en votant la loi sur la sécurisation de l'emploi.
Un point de détail mériterait d'être corrigé : le refus d'un secrétaire de CHSCT de signer l'ordre du jour impose aujourd'hui de passer par l'autorisation d'un magistrat, alors même qu'il s'agit d'une procédure obligatoire. Pourquoi ne pas appliquer au CHSCT ce qui est prévu pour le CCE et le CE ?