J'avais surtout la conviction qu'il ne s'agissait pas d'une information de première main, la personne ayant alerté M. Mangier ne faisant que relayer des ouï-dire. Estimant que l'aviseur n'en savait pas plus, je n'ai pas insisté pour le rencontrer. En revanche, j'avais demandé à M. Mangier de voir avec lui si nous pouvions rencontrer la personne dont émanait l'information – on a su depuis que c'était M. Gonelle.