Oui, comme avec tout autre dossier. Lorsqu'une information nous paraissait digne d'intérêt, et susceptible d'alimenter le contrôle fiscal, nous nous en saisissions sans états d'âme, quelle que soit la qualité de la personne visée. Dans ce domaine, M. Mangier n'a jamais fait preuve de défaillance ; si l'information lui avait permis de mener des investigations, il l'aurait fait.