Sans esprit de polémique, j'observe que ce point d'une importance cruciale fait l'objet de divergences entre nous. Ainsi, M. Gilles Carrez, président de la Commission des finances, qui a participé, avec d'autres, à la négociation de cet avenant ou de l'échange de lettres, avait considéré que ces instruments élargissaient le champ de la convention d'échange d'informations. Votre interprétation, monsieur le directeur général, à laquelle je souscris, est tout à fait inverse : cet échange de lettres restreint la possibilité d'interrogation.