Pour transmettre le dossier à la police judiciaire, ce qui a été fait entre le 12 et le 14 janvier, mes collaborateurs sont allés le chercher dans les services où il se trouvait, à Paris. L'un d'entre eux, M. Gardette, que vous aurez l'occasion d'entendre, s'est étonné qu'une partie en soit restée très longtemps à Bordeaux. Je suis donc très surpris qu'on nous indique aujourd'hui que le dossier n'y est pas allé. En réalité, cela n'a aucune importance, mais je suis là pour répondre à vos questions et j'y réponds donc.