S'il avait répondu « non », j'aurais quand même fait la demande d'assistance administrative, car je ne l'aurais pas cru.
Quant à votre deuxième question, dès lors qu'une information judiciaire a été ouverte – indépendamment même de la démission du ministre –, nous ne relançons pas la mécanique de la demande d'assistance internationale, mais je vous invite à reprendre les articles de presse pour voir à quel moment ils mentionnent la banque Reyl. Je souligne cependant, sans pouvoir être beaucoup plus précis – sinon à l'égard du rapporteur –, que, dans le déroulement des investigations judiciaires en cours depuis les « aveux » de M. Cahuzac, le 2 avril, l'administration fiscale n'est pas restée inactive.