À partir de 2008, le sujet remonte jusqu'au bureau chargé de la déontologie et du disciplinaire ; je suis donc presque certain que mes collègues du bureau RH 2 ont eu connaissance du mémoire de M. Garnier. En revanche, j'ai interrogé mon prédécesseur à la sous-direction du contrôle fiscal, qui m'a dit que celle-ci n'en avait pas été informée. Nous ne découvrirons que le 4 décembre 2012, dans l'article de Mediapart, que M. Garnier justifiait ses recherches par le fait qu'il avait eu une information relative à la détention d'un compte en Suisse.