Parce que ma cliente connaissait l'existence d'un certain Dreyfus, qui s'occupait des affaires de son mari – mais cela donna lieu à un quiproquo.
Le Dreyfus que nous avions trouvé – et qui est évoqué dans le courriel – était un certain Marc Dreyfus, envoyé par l'UBS à Singapour pour s'occuper de cet ensemble de comptes transférés à la va-vite. Mais ce n'est pas ce Dreyfus-là qui intéressait le dossier, puisque, comme nous l'avons appris par la suite, il s'agissait en fait d'Hervé Dreyfus, un homonyme, qui travaillait avec la banque Reyl. Je n'avais jamais entendu parler de lui avant les révélations de Mediapart.