Exactement.
En décembre 2011, se tient à Nîmes le congrès de notre chambre professionnelle. Y sont invités des collègues étrangers – dont Léonard Bruchez, de Suisse. Nous parlons investigations, et je lui demande de regarder si l'on peut avoir des informations sur le compte de M. Cahuzac ou sur le dénommé Dreyfus. Mais je n'ai pas été plus loin dans mes investigations, parce que je n'ai pas eu de mandat pour cela.