Absolument pas. Encore une fois, je viens pour dire à M. le ministre, qui a la haute main sur toute l'administration fiscale, qu'il a reconnu publiquement dans Sud-Ouest que cette administration m'avait tendu un piège et je lui demande d'en tirer toutes les conséquences, à savoir, comme chez Renault : sanction des coupables, réhabilitation et juste indemnisation de la victime, abandon des procédures en cours et, surtout, mise en place d'une protection effective des agents chargés du contrôle fiscal, tant ceux-ci sont parfois maltraités dans l'indifférence totale de la haute hiérarchie.