Avant que Reyl ne devienne une banque en novembre 2010, elle jouissait, selon la terminologie des autorités bancaires suisses, du statut de négociant en valeurs mobilières. Ce statut quasi-bancaire fait l'objet d'une régulation mais n'autorise pas l'établissement à accepter dans ses livres les actifs de clients, l'obligeant à les placer auprès d'un dépositaire – par exemple l'UBS – titulaire d'une licence bancaire.