Tout d'abord, une réflexion sur le climat, peut-être pour rasséréner M. Fenech. J'ai moi-même présidé une commission d'enquête, consacrée à la libération, opérée par M. Claude Guéant et Mme Cécilia Sarkozy, des infirmières bulgares détenues en Libye par le Colonel Khadafi. Au cours de ces travaux, on m'a interdit, par vote, d'entendre un témoin pourtant essentiel, en m'expliquant que Mme Sarkozy était, en quelque sorte, partie non détachable de la fonction du chef de l'État – un motif assez cocasse. J'ai donc été amené à ne pas voter le rapport de la commission. J'espère que cela ne vous arrivera pas, monsieur le président.