L'objet de notre commission est de chercher les éventuelles interactions entre les cabinets ou le pouvoir politique et l'action de l'administration. En somme, vous nous expliquez que vous n'avez rien fait jusqu'au 14 janvier. Alors que l'affaire prend une ampleur considérable et met le Gouvernement en grande difficulté, vous ne prenez quasiment aucune décision, aucun acte directif vis-à-vis de votre administration. N'avez-vous pas le sentiment d'avoir plutôt péché par omission ?