Je n'ai pas du tout ce sentiment. La semaine dernière, on nous a accusés d'avoir manipulé l'administration fiscale ; aujourd'hui, on nous accuse d'avoir péché par omission. Compte tenu de ces deux accusations, j'ai la faiblesse de penser que nous étions peut-être sur le bon chemin.
Sous l'autorité du ministre, l'administration fiscale a fait les diligences nécessaires. Et, lorsque nous avons eu besoin d'une intervention pour obtenir une réponse de la part des autorités suisses, le ministre a fait les démarches nécessaires. La réponse – quels que soient ses défauts – est arrivée dans un délai très rapide. Je n'ai donc le sentiment ni d'avoir mal agi, ni d'avoir mal travaillé, ni d'avoir manipulé qui que ce soit, ni d'avoir péché par omission.