Nous n'en savons pas plus. Nous sommes très respectueux du principe du contradictoire et, avant de publier une information, nous contactons toujours les personnes concernées, libres à elles de nous répondre ou non. Mais l'administration n'a pas la culture de la réponse. J'ai eu Marie-Hélène Valente au téléphone avant de publier l'article le 21 décembre, intitulé « Les mensonges de Jérôme Cahuzac ». Elle a été excessivement sèche, mais c'est son droit. Elle m'a dit avoir « des rapports normaux avec le ministère de l'intérieur ». La conversation s'est arrêtée là après qu'elle m'a fait comprendre que je n'étais pas à l'abri d'éventuelles poursuites judiciaires mais il ne s'est rien passé. Je n'ai écrit que la vérité.