Je suis désolé de faire étalage de vos défauts, chers collègues de la majorité, mais à un moment donné il y en a assez de vous entendre vous défausser et toujours blâmer vos prédécesseurs de votre incompétence. J’aurais préféré que l’on débatte sereinement, sans a priori idéologique, d’un sujet si important pour nos concitoyens, mais vous nous en avez empêché.