Madame la présidente, je ne dirai que quelques mots, sur un ton aussi paisible que celui qu’a employé M. Jacquat. Sa démonstration ne démontre en effet rien du tout. Les travaux en commission ont été longs, approfondis et fouillés. Il n’y a donc nulle raison, monsieur le député, de retourner en commission pour examiner les points que vous avez évoqués. Ces derniers soulignent d’ailleurs une différence majeure entre les projets que vous avez portés et ceux que le Gouvernement présente aujourd’hui.
Vous avez dit, redit et répété sur tous les tons qu’il n’y avait au fond d’autre réforme que de prolonger celle de 2010. Son échec manifeste m’oblige à dire que ce sont d’autres voies et d’autres perspectives qu’il s’agit d’emprunter.