Vos mesures sur la pénibilité partent d’une bonne intention. Nous sommes tous d’accord pour reconnaître que les personnes qui ont passé trente ans aux trois-huit dans la sidérurgie sont certainement plus fatiguées physiquement que des personnes travaillant dans des bureaux en horaires réguliers.
Mais que faites-vous du stress des salariés ? Des deux heures quotidiennes de train ou de RER pour aller travailler ? Des difficultés des mères qui jonglent entre leur travail et leurs enfants ?