Monsieur le président, madame la ministre, madame la présidente de la commission, madame la présidente de la délégation aux droits des femmes, messieurs les rapporteurs, chers collègues, en écoutant l’opposition s’exprimer plus tôt, je me demandais si la souffrance était devenue le critère de la réforme. Si j’entends bien son message, la réforme ne serait ni assez dure ni assez exigeante ; elle ne va pas assez loin et ne fait pas assez souffrir.