Monsieur le président, madame la ministre, mes chers collègues, ce n’est pas une réforme des retraites, c’est une simple justification pour créer de nouvelles taxes afin de financer de nouvelles dépenses, au lieu de baisser les déficits des différents régimes.
Annoncée le 28 février 2013 à grands renforts médiatiques par la mise en place d’un énième « comité Théodule », nous nous attendions à ce que cette réforme des retraites soit plus ambitieuse et, surtout, plus juste.
La précédente réforme de 2010 prévoyait une clause de rendez-vous au premier semestre 2013. Vous n’avez donc rien inventé ! Vous ne faites finalement qu’appliquer la clause de revoyure prévue par cette réforme.