Pourquoi est-ce une réforme de gauche ? Parce que c’est une réforme réaliste et progressiste, mes chers collègues. Clemenceau disait qu’en période de crise, la seule politique possible, c’est le réalisme. Nous sommes en période de crise, et il y a du réalisme dans cette réforme, parce que notre régime de retraite est confronté à un risque majeur.