Je veux remercier Jérôme Guedj d’avoir évoqué le fait que cette réforme s’inscrivait, par nombre de ses mesures, dans la grande histoire du progrès social que porte la gauche. Je veux également saluer les propos de Guillaume Bachelay, qui a indiqué que la création de ce compte pénibilité ferait date dans notre histoire sociale. En effet, la droite, jusqu’à présent, non seulement refusait de prendre en compte la pénibilité, mais la traitait par le mépris en faisant semblant de considérer qu’elle était synonyme d’invalidité.