« Les parlementaires veulent accorder une plus grande attention à certaines périodes de stage. Nous allons trouver une solution. Mais à condition de ne pas banaliser les stages », a déclaré Mme la ministre au Journal du dimanche. « Il est nécessaire, précisait-elle également, de répondre à la demande des jeunes qui entrent plus tard dans la vie active », tout en rappelant que le projet de loi « prévoit d’aider au rachat d’années d’études ». Or aucune de ces mesures n’est financée et nous ne recevons aucune réponse à nos questions. Nous voulons savoir combien de jeunes sont concernés par la prise en compte des périodes de stages et quel financement correspond à cette mesure. Il en va bien sûr de la pérennité de notre système de retraites