Cet amendement se fonde sur deux constats. D'une part, Charles de Courson l'a dit, les PME manquent cruellement de capitaux propres, d'autant que les banques restent très frileuses. D'autre part, le taux d'épargne des Français est très élevé et aucune culture entrepreneuriale n'oriente cette épargne vers les entreprises. Nous souhaitons donc provoquer chez les épargnants français un changement de culture qui les incite à investir davantage dans l'entreprise.