Je ne comprends pas la position de ceux qui veulent défendre la place de Paris sur le marché de l'art tout en disant préférer une taxation des plus-values – même si je suis prêt à examiner plus avant les conditions de ces dernières.
S'agissant du contrôle et de l'estimation, je rappelle qu'au moment des ventes et des successions, la valeur des patrimoines est souvent connue. De surcroît, les oeuvres sont généralement assurées.
En tout état de cause, je propose de relever le seuil prévu dans mon amendement de 5 000 à 50 000 euros, qui me paraît mieux adapté.