Je souscris sans réserve aux propos d'Hervé Mariton, non seulement pour des raisons de principe mais aussi parce qu'il faut éviter de multiplier les signaux défavorables aux familles. La politique familiale ne doit pas être envisagée comme une annexe de la politique sociale. Son objectif est de ne pas défavoriser ceux qui assument la responsabilité d'élever des enfants. Restons fidèles à ce principe.