L'ARAC que je représente est la seule association autour de cette table à militer pour une réhabilitation globale des fusillés pour l'exemple, en étroite liaison avec la Libre pensée et la Ligue des droits de l'homme – même si cette dernière réfléchit aussi de son côté à la réhabilitation au cas par cas. Dans le respect profond des arguments de nos partenaires, nous estimons que les nouvelles générations méritent la vérité. Nous avons le souci d'une mémoire vraie, et souhaitons faire connaître l'injustice afin de lutter contre elle.
Tant pour les écoles de reconversion que pour les EHPAD relevant de l'ONAC, il nous semble qu'il faut travailler le concept de bien commun. L'ARAC souhaite que rien ne soit retiré au service public, mais nous comprendrions que le cadre de la mission confiée aux écoles évolue selon les besoins de la société française.