Monsieur Buisset, vous considérez que « rien ne bouge » pour les veuves des grands invalides de guerre. Je note pourtant que les crédits d'action sociale de l'ONAC augmenteront de plus de 6 % en 2014. Sachant que les demandes de ces veuves font l'objet d'un examen individualisé, pourriez-vous préciser votre analyse ? J'ai cru entendre une sorte de menace pour le cas ou aucune solution ne serait apportée sur le plan législatif, mais j'ai dû me méprendre.