On parle à tort des seuls produits halal alors qu'il faut aussi mentionner l'abattage rituel casher. Sans l'abattage rituel, nous perdrions une part du marché national mais aussi plus de 80 % de nos marchés à l'exportation vers les pays tiers. Est-ce ce que nous voulons ? Je rappelle que le décret et l'arrêté du 28 décembre 2011 obligent les outils qui pratiquent des abattages rituels à se déclarer. Ils doivent aussi employer des sacrificateurs formés, et tenir un registre des abattages et des commandes.
Les déséquilibres matière constatés concernent l'abattage rituel casher plus que l'abattage halal car la communauté israélite ne consomme que les avants.