Je suis un peu étonné de l'association de ces chiffres – environ 1,8 milliard de dollars de pertes sur la période visée – à la France. J'ai comparé, dans mon exposé liminaire, la situation de l'ensemble du groupe – qu'il s'agisse de l'exploitation, des résultats nets ou de l'endettement – à celle de nos concurrents. Je n'ai évoqué nos activités en France que pour montrer qu'elles étaient structurellement bénéficiaires depuis la création de notre centrale d'achat au Luxembourg en 2009.