Vous avez bien fait de souligner ces difficultés pour la reprise du site, qui tiennent visiblement à son état compte tenu de l'absence d'investissements depuis plusieurs années. Titan était-il prêt à mettre de 200 à 400 millions d'euros sur la table pour faire vivre l'activité ? En quoi le dialogue avec ce groupe a-t-il été différent ?