Nous tentons de trouver une réponse pour chaque dossier.
Parfois nous en trouvons. Parfois, les réponses sont insuffisantes, car tous les emplois ne peuvent pas toujours être sauvés. Mais, dès qu’il vient à manquer des ressources dans une entreprise, nous demandons aux banquiers d’abandonner une partie de leur créance, aux dirigeants, s’ils ont failli, de partir, aux organisations syndicales de consentir un effort et aux élus locaux de participer. L’État s’associe, lors de ces tables rondes, en abandonnant une partie des créances fiscales et sociales.
Dès que nous pouvons sauver un emploi, c’est une victoire ; lorsque nous sauvons dix emplois, c’est plus qu’une victoire, et cent emplois, c’est un triomphe !