Après un an de combat exemplaire, les salariés qui sont toujours restés dignes, non violents et respectueux de leur outil de travail – vous le savez, monsieur le Premier ministre, pour les avoir rencontrés – paient les erreurs de gestion et de stratégies industrielles de dirigeants peu scrupuleux qui ont oublié l’esprit fondateur des coopératives et qui veulent faire croire maintenant que tout est la faute de l’État.
Que propose la CECAB à ces salariés ? Mille euros d’indemnité supra-légale pour les trois premières années de présence