Monsieur le président, madame la ministre, chers collègues, oui, il fallait sécuriser le système de retraites, parce qu’il était en danger.
Oui, il fallait le rendre plus juste, parce que ce principe avait été largement éconduit dans la réforme précédente.
Oui, cette réforme tourne la page de votre réforme, mesdames et messieurs de l’opposition : pas par esprit de revanche, pas par dogmatisme, bien au contraire ;