Ces avancées, l’Assemblée nationale et notre rapporteur, Michel Issindou, les ont amplifiées. Nous réaffirmons ainsi que notre société tient debout par la solidarité entre les générations, entre les femmes et les hommes, et entre les branches professionnelles.
Notre groupe votera ce texte, pas simplement comme une réforme structurelle, mais comme une réforme de progrès, en sachant qu’elle prendra place dans une lignée de lois sociales qui, de 1910 à 1982, furent combattues à chaque étape par les conservateurs, parce qu’elles ne se contentaient pas d’offrir une réponse minimale, mais qu’elles s’attachaient à corriger les injustices, les inégalités et les impensés.