Nous voulons aussi maîtriser les effectifs de la fonction publique. Les priorités que nous avons définies nous conduisent, dans un certain nombre de ministères, à créer des postes. Des services publics entiers, par la règle du non-remplacement d’un fonctionnaire sur deux partant à la retraite, ont été sacrifiés, laminés, affaiblis. C’est le cas de l’éducation nationale, qui recrute aujourd’hui parce que nous voulons mettre l’école de la République au faîte de nos priorités, parce que nous voulons l’honorer par nos choix. Cela implique que nous fassions des efforts budgétaires, comme pour la justice, comme pour la police.