Les chefs d’entreprise ont alors jugé préférable de profiter des assises de la fiscalité des entreprises annoncées par le Président de la République pour aller au bout de la réflexion. Parce que nous préférons un bon compromis à un mauvais conflit, nous avons accepté de prendre le temps de cette réflexion commune. Nous profiterons, par conséquent, des assises de l’entrepreneuriat, auxquelles, je l’espère, les parlementaires seront associés, pour engager cette réforme.