Voilà, mesdames et messieurs les députés, ce que je souhaitais vous dire de ce projet de loi de finances pour 2014. Vous voyez que nous avons beaucoup de grain à moudre pour les jours et les semaines à venir. Je forme le voeu que les débats qui auront lieu dans cet hémicycle et au Sénat soient de la meilleure qualité, qu’ils nous permettent, à l’écart du tohu-bohu et du vacarme médiatiques, de nous écouter, de nous respecter, de nous comprendre, de faire en sorte, dans une exigence partagée de rigueur, que nous parvenions à redonner confiance dans la politique et à accompagner le redressement de nos comptes que les Français appellent de leurs voeux.