Je demande encore de votre indulgence, monsieur le président.
J’ai alors dit – notre collègue Destans ici présent peut en témoigner – que l’État ne pouvait pas faire autrement que de réduire d’un demi-milliard d’euros le montant des dotations – c’est tellement vrai que je ne conteste donc pas cette décision. En revanche, et j’ai été frappé de l’écho unanime que j’ai rencontré dans cette salle où se trouvaient 450 maires, dès lors que l’État nous demande un effort, il n’a pas le droit de nous imposer de nouvelles dépenses. Les rythmes scolaires, cela doit être consenti, cela doit être négocié, cela ne doit pas être imposé !