Une fois l’expulsion décidée, en application de notre droit d’asile, les recours ont finalement donné lieu à un arrêté de reconduite à la frontière, lequel n’autorise pourtant pas que des enfants scolarisés puissent être interpellés au sein de l’enceinte scolaire, y compris lors des activités et déplacements périscolaires. (Applaudissements sur les bancs des groupes SRC et GDR.)