dont nous engageons immédiatement la négociation, sans attendre la programmation prévue de la négociation des contrats de plan. Ce pacte d’avenir permettra d’anticiper pour soutenir le développement des filières, des entreprises et de l’innovation. En même temps, il faut agir dans l’urgence. Et l’urgence, ce sont les salariés, notamment ceux des abattoirs ou d’autres activités de l’agroalimentaire.
C’est pourquoi nous avons décidé, avec le ministre du travail, un contrat exceptionnel d’accompagnement de l’emploi, le contrat de sécurisation professionnelle renforcé, qui garantit pendant un an le salaire de chaque personne licenciée, à 97 % net du salaire perçu précédemment.