Ma question s’adresse à M. le ministre de l’éducation nationale. Depuis maintenant un mois, de nombreuses communes ont engagé la réforme des rythmes scolaires dans leurs écoles. D’autres organisent activement des concertations avec les parents d’élèves et bien entendu les équipes éducatives pour préparer sa mise en place en septembre 2014, selon un calendrier volontairement souple. Persister à rejeter la réforme, pour des raisons avouées car inhérentes à la mise en oeuvre de toute réforme d’ampleur ou pour des raisons inavouables car plus électorales, c’est refuser une fois de plus de regarder en face la seule chose dont nous devons nous préoccuper : l’intérêt de l’enfant et la réussite de son parcours scolaire. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)