Enfin, vous leur demandez l’impossible : alors même que leurs ressources diminuent et même si, grâce à l’intervention du président de l’AMF, un appui financier est prolongé, vous leur imposez une réforme des rythmes scolaires terriblement coûteuse, que les premiers retours de terrain jugent chaotique et préjudiciable aux enfants
Monsieur le Premier ministre, fragiliser la cellule de base de la société qu’est la commune est une erreur profonde. Dans la grande vague de discrédit qui emporte la classe politique, les maires sont les élus…