Voilà, en quatre amendements, quelques milliards d’euros de dépenses supplémentaires ou de recettes perdues qui rendent dérisoires le discours de l’opposition, et je ne parle même pas de ceux qui en sont à promettre la fin de l’impôt sur le revenu. Vous réussissez, mes chers collègues de l’UMP et de l’UDI, l’exploit de ne pas réduire la dépense tout en créant de nouvelles injustices. Et la hausse des prélèvements obligatoires ne s’arrêterait pas au budget, car je vous écoute toujours attentivement.