Il est vrai que le prélèvement de moyens sur les MIGAC était profondément injuste, tant ces dotations sont indispensables au fonctionnement des hôpitaux, notamment publics. À cet égard, je me félicite de la décision d'y mettre fin, même si elle allait de soi de la part d'un gouvernement de gauche.
Pour autant, je doute de la nécessité de maintenir la notion même de coefficient prudentiel. N'étant pas convaincue par les arguments du rapporteur, je maintiens mon amendement.