Nous sommes favorables à la délivrance à l'unité, mais quelles seraient les obligations des industriels, dans la mesure où les pharmaciens sont en droit de demander un conditionnement adapté ? Dans les pays où cela existe, celui-ci est d'ailleurs différent.
Ensuite, pourquoi avoir choisi les antibiotiques, pour lesquels il y a peu de modulations possibles dans la prescription ?
Enfin, pourquoi avoir repoussé à 2017 l'évaluation de cette mesure ? Cela me paraît bien tardif, et j'espère que l'on n'est pas en train d'assister à un enterrement de première classe de cette belle idée !