Comment gérer, dans le cas d'espèce, le « nomadisme médical » ? Un patient n'est pas toujours bien informé de ses traitements et il peut changer d'officine. Dès lors que le dossier pharmaceutique n'est pas encore généralisé, par quels moyens le pharmacien proposant un biosimilaire pourra-t-il s'assurer que le patient est vierge de tout traitement ?