La prise de ces médicaments – hormone de croissance, érythropoïétine, anticorps monoclonaux – intervient généralement dans des traitements très lourds où le nomadisme des patients est peu développé. Pour autant, en cas de déménagement du patient par exemple, rien n'empêche son nouveau pharmacien de téléphoner à son confrère ou à l'hôpital qui a délivré la première prescription.