L'idée de M. Véran est séduisante, mais en quoi règle-t-elle la question ? Si le pharmacien procède à la substitution après que le médecin l'a autorisée, ce dernier, en cas de problème, pourra toujours dire que ce n'est pas celle qui convenait. Nous parlons de produits très techniques, encore peu prescrits. Les substitutions n'auront donc jamais lieu en pratique : à moins de les rendre obligatoires, je ne vois pas l'intérêt d'en discuter aujourd'hui.