Mme Fraysse manifeste par son amendement une réelle exaspération devant le manque de réactivité du CEPS sur certaines rentes temporaires, surtout lorsque le produit n'offre aucune amélioration thérapeutique par rapport au princeps ou aux génériques existants.
Nous auditionnerons bientôt le président du CEPS : nous ne manquerons pas de lui faire part de notre étonnement devant les pertes faramineuses d'économies entraînées par ce manque de réactivité. D'ailleurs, la CNAM elle-même s'en inquiète.